Comment me joindre

Mail: contact@lefrantalien.fr

Un air de chanson sans façon.

Ce chapitre est sur certains textes précédents avec en plus des phrases reprisées pour en faire des refrains, le tout premier est suite à la demande d’une personne qui a appris l’équitation en chantant, j’ai donc écrit : « La chanson d’Hélène », le deuxième, j’ai repris : « Je dors braves gens », le troisième est : « Le papillon », le quatrième est : « Un instant de bonheur », le cinquième est : « Comme un arc-en-ciel », le sixième est : « Le temps s’écoule comme l’eau coule », le septième est : « Je veux vivre », le huitième est : « Guignol », chanter, danser, rigoler c’est bien, malheureusement il faut être, aussi, sérieux et l’on revient à la politique ; je vous invite, donc, à poursuivre avec : une vision critique sur la politique.

La chanson d'Hélène

On prépare son cheval

Étalon ou cavale,

Soigneusement.

Lorsqu’on veut l’apaiser

On lui donne un baiser,

Posément.

 

Qu’il pleuve, qu’il vente ou neige

Nous sortons du manège,

Joyeusement.

Au grand air on respire

Mais aussi on transpire,

Sainement.

 

Tout devient merveilleux

Lorsqu’on a dans les yeux

Le bonheur.

 

On suit les traces d’Hélène

Galopant dans la plaine,

Bienveillante.

Notre Hélène a du cœur

Elle a l’âme des vainqueurs

Et elle chante

 

Parcourant les campagnes

Les plages et les montagnes,

Agilement.

On découvre la beauté

Qui est juste à côté,

Simplement.

 

Tout devient merveilleux

Lorsqu’on a dans les yeux

Le bonheur.

 

Si on aime l’aventure

On ménage sa monture,

Sagement.

On lui fait une caresse

On lui offre la tendresse,

Gentiment.

 

Quand finit la balade

On rentre en enfilade,

Calmement.

Tous on pense à demain

Et à d’autres chemins,

Patiemment.

 

Tout devient merveilleux

Lorsqu’on a dans les yeux

Le bonheur.

La chanson d'Hélène partition.pdf
Document Adobe Acrobat [38.0 KB]

Je dors braves gens,

Nous le savons, nous modifions notre climat,

Un scénario catastrophe comme au cinéma

Est à prévoir, pourtant personne ne s’en inquiète.

Je dors braves gens, sous ma couette chaude et bien douillette.

Demain c’est loin, on a le temps de voir venir,

Pourquoi changer, ça peut encore se maintenir,

Avec la chance, ça s’arrangera sûrement tout seul.

Je dors braves gens, sous mes draps blancs comme un linceul

 

Quand on aura atteint le point de non-retour,

Quand il sera trop tard pour faire un demi-tour ;

Que dira-t-on à nos enfants, nos légataires ?

Ce n’est pas moi qui ai cassé la planète Terre.

 

Ou d’ici là, une solution apparaîtra,

Qui ne dérange en rien et l’on s’en remettra,

Pourquoi vouloir être affolé et malheureux ?

Je dors braves gens, du sommeil lourd des bienheureux.

Qu’y pouvons-nous, ce péril ne date pas d’hier ?

Autant vider un océan à la cuillère,

De plus personne n’en est vraiment le responsable.

Je dors braves gens, je suis en paix et loin du diable.

 

Quand on aura atteint le point de non-retour,

Quand il sera trop tard pour faire un demi-tour ;

Que dira-t-on à nos enfants, nos légataires ?

Ce n’est pas moi qui ai cassé la planète Terre.

 

C’est le progrès, le vrai coupable, c’est évident,

Ce n’est pas moi ou alors c’est un accident,

Une négligence au pire peut-être, ou deux fois rien.

Je dors braves gens, l’esprit serein et aérien.

Je rêve parfois d’un éden vert où coule l’eau vive,

Je rêve souvent d’une terre stérile, sans âme qui vive,

Je rêve courir à ma perte, à ma propre fin.

Réveillez-moi, il est grand temps d’agir enfin.

 

Quand on aura atteint le point de non-retour,

Quand il sera trop tard pour faire un demi-tour ;

Que dira-t-on à nos enfants, nos légataires ?

Ce n’est pas moi qui ai cassé la planète Terre.

Oserons-nous avouer à nos légataires :

Je n’ai rien fait pour préserver la planète Terre.

Le papillon,

 

Laissez-moi vous conter l’histoire du papillon,

Qui cherchait le frisson dans les grands tourbillons.

Une histoire très banale, une histoire peu glorieuse,

Où ses choix l’ont conduit sur des voies tortueuses.

 

Il quitta sa famille, sans donner de raisons,

Pour jouer la cigale tout au long des saisons.

Il voulait respirer, profiter de l’instant,

Sans penser à demain, en prenant du bon temps.

Il jeta sa morale ainsi que ses devoirs

Par-dessus son épaule, préférant faire la foire.

Il voulait que sa vie soit un feu d’artifice,

Que tout soit bénéfice, sans aucun sacrifice.

 

Une histoire très banale, une histoire peu glorieuse,

Où ses choix l’ont conduit sur des voies tortueuses.

Il voulait respirer, profiter de l’instant,

Sans penser à demain, en prenant du bon temps.

Il voulait que sa vie soit un feu d’artifice,

Que tout soit bénéfice, sans aucun sacrifice.

 

Il prit tous les courants, surtout les plus faciles,

Sans aucune réflexion, comme le fait l’imbécile.

Il voulait supprimer l’interdit et tout faire

À sa guise, sans effort, se moquant de l’enfer.

Il plongea sans réserve dans des fonds très obscurs

Et connu la narcose que seul ces lieux procurent.

Il voulait être libre, pouvoir vivre sans ennui,

Faire la fête de l’aurore jusqu’au bout de la nuit.

 

Une histoire très banale, une histoire peu glorieuse,

Où ses choix l’ont conduit sur des voies tortueuses.

Il voulait supprimer l’interdit et tout faire

À sa guise, sans effort, se moquant de l’enfer.

Il voulait être libre, pouvoir vivre sans ennui,

Faire la fête de l’aurore jusqu’au bout de la nuit.

 

Il toucha à tout même aux produits dangereux,

Espérant voyager dans un monde plus heureux.

Il voulait s’amuser, refusant tout débat

Et tomba chaque jour toujours un peu plus bas.

Il rêvait d’un destin en dehors du commun,

Il pensait le gérer avec ses petites mains.

Il voulait, comme Icare, voler vers la lumière

Mais sa route ne fut que désespoir et misère.

 

Une histoire très banale, une histoire peu glorieuse,

Où ses choix l’ont conduit sur des voies tortueuses.

Il voulait s’amuser, refusant tout débat

Et tomba chaque jour toujours un peu plus bas.

Il voulait, comme Icare, voler vers la lumière

Mais sa route ne fut que désespoir et misère.

Un instant de bonheur,

Un instant de bonheur arrive sans prévenir,

Il se grave et devient un précieux souvenir,

Qui revient pour donner un sens à notre vie

Et jeter la tristesse au loin sans préavis.

On le trouve, chez l’enfant, quand il rit aux éclats,

Son état se propage, l’effet est immédiat.

Il suffit d’être ouvert, de savoir écouter,

Le bonheur est partout, inutile d’en douter.

On le trouve lorsqu’un goût oublié resurgit

Et évoque un passé de rêve et de magie.

Il suffit d’être ouvert ou un peu réceptif,

Le bonheur est partout et il est très actif.

Il suffit d’être ouvert, de savoir écouter,

Le bonheur est partout, inutile d’en douter.

Il suffit d’être ouvert ou un peu réceptif,

Le bonheur est partout et il est très actif.

On le trouve en voyant un visage accueillant,

Avec un grand sourire et des yeux pétillants.

Il suffit d’être ouvert de savoir regarder,

Le bonheur est partout à nous de le garder.

On le trouve dans le vent quand il porte les odeurs

Annonçant le printemps avec toutes ses splendeurs.

Il suffit d’être ouvert de savoir apprécier,

Le bonheur est partout on peut le remercier.

Il suffit d’être ouvert de savoir regarder,

Le bonheur est partout à nous de le garder.

Il suffit d’être ouvert de savoir apprécier,

Le bonheur est partout on peut le remercier.

 

On le trouve quand on sent la tendresse d’un baiser

Plein d’amour qui nous rend radieux et apaisé.

Il suffit d’être ouvert ou seulement d’être humain,

Le bonheur est partout on le cueille à la main.

On le trouve si on est prêt à le recevoir

Pas besoin de fouiller les recoins pour le voir,

Il suffit de vouloir l’accueillir sans façon,

Le bonheur est partout et il s’offre sans rançon.

Il suffit d’être ouvert ou seulement d’être humain,

Le bonheur est partout on le cueille à la main.

Il suffit de vouloir l’accueillir sans façon,

Le bonheur est partout et il s’offre sans rançon.

Il suffit d’être ouvert, de savoir écouter,

Le bonheur est partout, inutile d’en douter.

Il suffit d’être ouvert ou un peu réceptif,

Le bonheur est partout et il est très actif.

Il suffit d’être ouvert de savoir regarder,

Le bonheur est partout à nous de le garder.

Il suffit d’être ouvert de savoir apprécier,

Le bonheur est partout on peut le remercier.

Il suffit d’être ouvert ou seulement d’être humain,

Le bonheur est partout on le cueille à la main.

Il suffit de vouloir l’accueillir sans façon,

Le bonheur est partout et il s’offre sans rançon.

Un instant de bonheur arrive sans prévenir,

Il se grave et devient un précieux souvenir,

Qui revient pour donner un sens à notre vie

Et jeter la tristesse au loin sans préavis.

♫ Comme un arc-en-ciel ♫

 

Si tu n’as pas comme les mannequins un beau profil,

Tu pourrais croire, que sans valeur, les jours défilent,

Mais si tu sais juste être toi, tout simplement,

Alors le monde s’embellira naturellement.

Si tu n’as pas les lèvres pulpeuses et sensuelles,

Tu pourrais t’en faire un complexe d’ordre sexuel,

Mais si tu as de grands sourires sur le visage,

Alors, radieuse, tu seras dans le paysage.

Si tu n’as pas ! Je ne sais quoi ?

Tu pourrais dire ! Je ne sais quoi ?

Mais si tu ris, de ces âneries,

Alors pour toi, la vie sourit.

Si tu n’as pas des seins fait pour les bons bonnets,

Tu pourrais te sentir mal et abandonnée,

Mais si tu portes le regard droit et rayonnant,

Alors ton air sera plaisant et avenant.

Si tu n’as pas une taille de guêpe d’adolescente,

Tu pourrais être envieuse, aigrie et grimaçante,

Mais si tu es bien au-dessus de ces critères,

Alors, oublie ces régimes tristes et délétères.

Si tu n’as pas ! Je ne sais quoi ?

Tu pourrais dire ! Je ne sais quoi ?

Mais si tu ris, de ces âneries,

Alors pour toi, la vie sourit.

Si tu n’as pas des jambes comme la poupée « Barbie »,

Tu pourrais te morfondre, chercher des alibis,

Mais si tu vis en harmonie avec ton corps,

Alors la foule sera avec toi en accord.

Si tu ne sais pas marcher comme un top-modèle,

Tu pourrais fuir en courant ou à tire d’aile,

Mais si tu restes sereine avec un esprit libre,

Alors seront en toi, la paix et l’équilibre.

Si tu n’as pas ! Je ne sais quoi ?

Tu pourrais dire ! Je ne sais quoi ?

Mais si tu ris, de ces âneries,

Alors pour toi, la vie sourit.

Si tu n’as pas de cela ou trop de ceci,

Tu pourrais te laisser ronger par ces soucis,

Mais si rien ne t’attire dans le superficiel,

Alors brillera ton aura comme un arc-en-ciel.

Si tu n’as pas ! Je ne sais quoi ?

Tu pourrais dire ! Je ne sais quoi ?

Mais si tu ris, de ces âneries,

Alors pour toi, la vie sourit.

♫ Le temps s’écoule comme l’eau coule, ♫

Le temps s’en va, indifférent, vers le néant,

Comme l’eau qui court depuis sa source à l’océan,

En entraînant toute une histoire dans son sillage

Et en laissant un goût trop court de son voyage.

Le temps démarre, on ignore qu’il faut le compter,

Il paraît là, à notre gré, à volonté,

S’épanchant comme une fontaine claire, inépuisable

Nous baignant dans une innocence douce, agréable.

Le temps émerge, on voudrait bien l’accélérer,

Devenir grand, pour être enfin considéré,

Quitter les bords des lacs paisibles, pour l’aventure :

Voir l’univers et découvrir ses créatures.

Le temps s’en va, indifférent, vers le néant,

Comme l’eau qui court depuis sa source à l’océan,

En entraînant toute une histoire dans son sillage

Et en laissant un goût trop court de son voyage.

Le temps s’inscrit et l’on rejette ses habitudes,

Pour se créer de nouvelles et grandes certitudes ;

On se débat, tel un bouchon dans les rapides,

On veut paraître et on a l’air un peu stupide.

Le temps apprend, il creuse nos rides, il nous mûrit,

Il nous détourne de nos colères, de nos furies.

On s’aperçoit à chaque méandre de l’existence,

Que de nombreux tracas n’ont que peu d’importance.

Le temps s’en va, indifférent, vers le néant,

Comme l’eau qui court depuis sa source à l’océan,

En entraînant toute une histoire dans son sillage

Et en laissant un goût trop court de son voyage.

Le temps s’assume et l’on s’adapte à son tempo,

C’est une période, où l’on se sent bien dans sa peau,

Comme porté par un fleuve tranquille et rassurant ;

Manœuvrant et jouant avec lui des courants.

Le temps s’écoule, on voudrait bien le retenir,

L’arrêter et le remonter pour rajeunir.

Imperturbable, il glisse vers une immensité

Et rejoint cette inconnue pour l’éternité.

Je veux vivre,

« Y en a marre, plus que marre » des donneurs de leçons,

Qui ne savent qu’après coup, annoncer leur façon,

« Y avait qu’à, fallait que » et qui sont incapables

De faire quoi que ce soit ; ils sont tous pitoyables.

« Y en a marre, plus que marre » du râleur endurci,

Qui ne broie que du noir, pour qui tout s’obscurcit,

Qui vous sape votre entrain, en deux temps trois mouvements,

Parce qu’il est défaitiste ; c’est d’un nul déprimant.

« Y en a marre, plus que marre » des donneurs de leçons,

Qui ne savent qu’après coup, annoncer leur façon,

« Y en a marre, plus que marre » du râleur endurci,

Qui ne broie que du noir, pour qui tout s’obscurcit,

« Y en a marre, plus que marre » des prêcheurs de morale,

Qui se choquent, pour un rien, des pratiques générales,

Et qui baignent dans les vices les plus bas, les plus sales :

L’imposture est énorme, la duperie colossale.

« Y en a marre, plus que marre » des critiques partisanes

Sans fondement, sans jugement, débitées par des ânes,

Qui vomissent leur venin parce qu’ils sont dans un camp ;

L’air idiot, ils ne sont pas du tout convaincants.

« Y en a marre, plus que marre » des prêcheurs de morale,

Qui se choquent, pour un rien, des pratiques générales,

« Y en a marre, plus que marre » des critiques partisanes

Sans fondement, sans jugement, débitées par des ânes.

« Y en a marre, plus que marre » des clichés contrefaits,

Et des gens qui se donnent un style plus que surfait :

Être à gauche pour le cœur, à droite pour la raison,

Qu’ils aillent tous, bien aux pas, à leur propre pendaison.

 

« Y en a marre, plus que marre » de l’intox des journaux

Qui matraquent, sans arrêt, à des rythmes infernaux,

Qui déversent un bourbier, d’un arôme putrescent,

Et qui noient nos pensées dans un flux incessant.

« Y en a marre, plus que marre » des clichés contrefaits,

Et des gens qui se donnent un style plus que surfait :

« Y en a marre, plus que marre » de l’intox des journaux

Qui matraquent, sans arrêt, à des rythmes infernaux,

Laissez-moi dans mon coin je veux vivre, à l’écart,

Retiré, sur une île, loin de tous ces tocards,

Respirer un air sain, mais surtout être libre ;

Méditer à mon gré, ressentir toutes mes fibres.

 

 

<< ♫ Guignol,

 

C’est Guignol qui amuse et fait rire les enfants,

C’est toujours lui qui gagne et qui sort triomphant.

Guignol et ses copains, marionnettes et pantins,

Sont des drôles, ce sont tous de petits plaisantins ;

Sur les planches du théâtre, ils s’agitent pour débattre,

Parfois même ils font croire qu’ils sont prêts à se battre.

Ils ont le verbe haut pour bien se faire entendre

Et donner des leçons qu’ils veulent nous faire apprendre,

Ils aiment nous annoncer ce qu’ils ont à prédire,

Et palabrent sans arrêt ; souvent pour ne rien dire.

C’est Guignol qui amuse et fait rire les enfants,

C’est toujours lui qui gagne et qui sort triomphant.

Les regards sont sur eux et ils veulent les garder

En faisant de grands gestes, en plus de bavarder ;

Pour que l’on ne voie qu’eux, que l’on soit captivé

Ils bougent dans tous les sens, sûrs d’eux et motivés.

Dans leur voix les effets d’amplitude sont fréquents

Pour qu’un mot important jaillisse et soit clinquant,

Ils modulent le timbre pour lui donner un élan,

Tantôt haut tantôt bas ou rapide ou très lent.

C’est Guignol qui amuse et fait rire les enfants,

C’est toujours lui qui gagne et qui sort triomphant.

Ce sont des comédiens de métier, c’est certain,

Ils savent quand apparaît le moment opportun

Pour bondir et saisir l’attention du public

Et l’emmener dans leur monde irréel et ludique.

Il existe un spectacle, pour les grands, de ce style

Qui n’a rien de comique, qui n’a rien de subtil,

Ce sont nos politiques qui veulent être président ;

Ils pensent que nous sommes tous naïfs c’est évident.

Ces Guignols, tristes sires, font pleurer les adultes,

Leur façon de paraître ressemble à une insulte.

Ce sont des textes des chapitres précédents, le papillon, un instant de bonheur, comme un arc-en-ciel, le temps s’écoule comme l’eau coule, je veux vivre, guignol, avec en plus des refrains pour leur donner un air de chanson.

Je vous invite à poursuivre avec une vision critique sur la politique