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Un oeil malicieux vers les cieux

Ce chapitre est sur les positions de l’église avec « Jean XXIV », sur la divinité avec « Si j’avais un troupeau », sur les questions sans réponse avec « Un rayon de lumière », La religion est un domaine qui m’échappe ; je vous invite, donc, à poursuivre avec : une vue plongeante avec un peu de hauteur sur l’auteur.

Jean XXIV

J’attends impatiemment, Jean le vingt-quatrième,

Pour reprendre le flambeau, de Jean le vingt-troisième,

Celui qui a osé, dépoussiérer sa sphère,

Apporter un air frais, raviver l’atmosphère.

 

Qu’on puisse parler de sexe, sans être excommunié,

Nous sommes conçus ainsi, à quoi bon le nier,

Il fait un tout avec notre enveloppe corporelle,

Pourquoi vouloir l’enlever ? Il nous est naturel.

 

Qu’il ne soit plus honteux, d’apprécier les plaisirs,

De chercher le bonheur, d’assouvir ses désirs ;

Pour ça nos sens s’éveillent, ils sont à l’unisson,

Pourquoi être insensible, à tous ces chauds frissons ?

 

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Si j'avais un troupeau,

Si j’avais un troupeau, si j’étais un berger :

Je guiderais mes brebis dans un lieu sans danger,

Pour elles je chercherais cet endroit, sans repos,

J’en ferais un royaume et planterais un drapeau.

 

Je trouverais cet alpage, sans aucune mauvaise herbe

N’ayant que de bonnes plantes, aucune folle ou acerbe,

Bien grasses et nourrissantes, pour qu’elles passent tous les âges

De la vie sans problème, sainement, sans dérapage.

 

Je tracerais des chemins rectilignes, sans ornière.

Pour qu’elles ne s’égarent pas, je mettrais des glissières.

D’arrache-pied, je mènerais, sans attendre à demain,

Ces travaux et prendrait mon courage à deux mains.

 

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Un rayon de lumière,

C’était un jour d’été, un rayon de lumière

M’a parlé à l’oreille, en se servant de l’air,

Comme le ferait le vent dans la coquille d’une conque ;

Un fait plus que curieux qui n’a rien de quelconque.

 

D’un naturel méfiant, j’en fus préoccupé,

J’ai voulu me pincer pour ne pas être dupé,

Je craignais qu’un farceur veuille rire et s’amuser ;

Tout semblait bien réel, j’en étais médusé.

 

Il m’a dit voyager partout dans l’univers,

Le parcourant de long en large et en travers,

Qu’il est apparu dès le tout premier instant,

Et qu’il sera demain, jusqu’à la fin des temps.

 

Je connais l’entité, qui chassa le néant,

Pour créer le soleil, la terre, les océans,

Et tout ce qui existe, dans le moindre élément.

Il me confia cela, calmement, posément.

 

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