« Y en a marre, plus que marre » des donneurs de leçons,
Qui ne savent qu’après coup, annoncer leur façon,
« Y avait qu’à, fallait que » et qui sont incapables
De faire quoi que ce soit ; ils sont tous pitoyables.
« Y en a marre, plus que marre » du râleur endurci,
Qui ne broie que du noir, pour qui tout s’obscurcit,
Qui vous sape votre entrain, en deux temps trois mouvements,
Parce qu’il est défaitiste ; c’est d’un nul déprimant.
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« Y en a marre, plus que marre » des donneurs de leçons,
Qui ne savent qu’après coup, annoncer leur façon,
« Y en a marre, plus que marre » du râleur endurci,
Qui ne broie que du noir, pour qui tout s’obscurcit,
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« Y en a marre, plus que marre » des prêcheurs de morale,
Qui se choquent, pour un rien, des pratiques générales,
Et qui baignent dans les vices les plus bas, les plus sales :
L’imposture est énorme, la duperie colossale.
« Y en a marre, plus que marre » des critiques partisanes
Sans fondement, sans jugement, débitées par des ânes,
Qui vomissent leur venin parce qu’ils sont dans un camp ;
L’air idiot, ils ne sont pas du tout convaincants.
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« Y en a marre, plus que marre » des prêcheurs de morale,
Qui se choquent, pour un rien, des pratiques générales,
« Y en a marre, plus que marre » des critiques partisanes
Sans fondement, sans jugement, débitées par des ânes,
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« Y en a marre, plus que marre » des clichés contrefaits,
Et des gens qui se donnent un style plus que surfait :
Être à gauche pour le cœur, à droite pour la raison,
Qu’ils aillent tous, bien aux pas, à leur propre pendaison.
« Y en a marre, plus que marre » de l’intox des journaux
Qui matraquent, sans arrêt, à des rythmes infernaux,
Qui déversent un bourbier, d’un arôme putrescent,
Et qui noient nos pensées dans un flux incessant.
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« Y en a marre, plus que marre » des clichés contrefaits,
Et des gens qui se donnent un style plus que surfait :
« Y en a marre, plus que marre » de l’intox des journaux
Qui matraquent, sans arrêt, à des rythmes infernaux,
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Laissez-moi dans mon coin je veux vivre, à l’écart,
Retiré, sur une île, loin de tous ces tocards,
Respirer un air sain, mais surtout être libre ;
Méditer à mon gré, ressentir toutes mes fibres.